Quelles sont les causes de la panne de désir ?

Il existe différentes sources de la panne de désir chez la gent féminine. D’ordre physiologique, il y a le dérèglement hormonal. Ce sont la ménopause, la prise de certains anovulants, la grossesse ou encore l’allaitement. Puis, certaines maladies comme les troubles de la glande thyroïde, les cirrhoses, les maladies rénales ainsi que les hépatites chroniques peuvent empêcher les femmes de ressentir le désir de faire l’amour. Enfin, les médicaments, dont les anovulants, les antihypertenseurs, les antiandrogènes et les antidépresseursn’aident pas du tout à améliorer sa libido. Puis, il y a aussi les bêtabloquants, les drogues, l’alcoolet les antipsychotiques. Pour régler le problème, il faut consulter votre médecin.

Quelles solutions pour la panne de désir féminine ?

La fatigue, l’anxiété, le traumatisme ainsi que la dépression sont des grands tue-l’amour. Ceci étant, il est important d’assurer l’harmonie dans un couple. C’est la condition fondamentale à l’épanouissement sexuel. La tendresse et la complicité évitent donc l’éloignement que ce soit dans le quotidien et dans le lit. Par contre, l’infidélité et le manque de communication favorisent la panne de désir chez les femmes. Toutefois, il faut prendre le temps de se retrouver en dehors du cadre familial. Pensez également à changer la routine avec des petites attentions, des bisous et des mots tendres. Privilégiez les nouveaux jeux amoureux comme les nouvelles positions et les jouets sexuels. Stimulez-vous avec des films, des écrits érotiques ou des photos. La communication aide également à définir ce qui ne va pas et en apporter une solution. Enfin, déculpabilisez-vous, et oubliez les obligations.

Ce qu’est l’éjaculation féminine

C’est au moment de l’orgasme ou peu avant que se produit l’éjaculation féminine. Il s’agit d’un liquide expulsé par l’urètre et selon les chercheurs, ce liquide est composé d’urine fortement diluée ou d’urine avec des sécrétions des glandes de Skene. Le plus souvent, il est en quantité très faible, raison pour laquelle la plupart des femmes ne s’en rendent pas compte, encore moins leurs partenaires. Cependant, il existe des femmes pour qui cette éjaculation est abondante. Cette éjaculation peut se produire sous la stimulation clitoridienne ou vaginale, cela dépend de la sensibilité de chaque femme, mais elle se produit fréquemment. Le pendant masculin, c’est le liquide pré-éjaculatoire. Il semblerait que toutes les femmes peuvent arriver à éjaculer.

Les femmes qui éjaculent

Selon des études, il faudrait que le mental s’associe au physique pour que l’éjaculation puisse se produire chez la femme. Grâce à des exercices de relaxation, certaines femmes sont arrivées à obtenir et à contrôler l’éjaculation. Il faut un lâcher-prise total pour cela et la femme doit être à l’écoute de son corps, de ses sensations, et pour commencer, bien connaître son propre corps. Si une grande confiance s’instaure entre les deux partenaires, il serait aussi plus facile pour une femme d’éjaculer. Mais il semblerait que chercher à tout prix à parvenir à l’éjaculation serait contre-productif. Donc, il faut juste vivre pleinement l’instant présent et savourer et l’éjaculation peut, ou non, survenir.

Se concentrer sur les préliminaires

Une relation sexuelle n’est pas qu’un simple acte physique. Au-delà des échanges corporels, il s’agit d’un échange de plaisir. Pour cela les préliminaires sont essentiels. Ils permettent de préparer le corps. Mais pour un homme ayant un petit pénis, maîtriser les préliminaires est essentiel. Une femme peut atteindre l’orgasme de plusieurs manières, et la pénétration n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Si vous n’avez pas été très gâté par la nature, vous pouvez miser sur d’autre pratique. Le cunnilingus a cette particularité de faire tourner la tête des femmes, surtout celles qui sont clitoridiennes. Servez-vous de votre langue pour mener votre partenaire à l’orgasme et elle ne sera que plus satisfaite. De toute manière, sachez qu’une femme qui a atteint l’orgasme se préoccupe bien peu de la manière dont elle a joui.

Les positions à privilégier

Les positions qui permettent une pénétration plus en profondeur sont également une bonne alternative. Parmi elles, la levrette est certainement la plus efficace. En vous appuyant sur vos genoux, il vous sera plus facile d’enfoncer votre pénis jusqu’à la garde. Du côté de votre partenaire, elle aura les jambes serrées, ce qui va rendre la stimulation plus facile. Ensuite, les positions où la femme est assise sont toutes des formules gagnantes. La raison est que, comme c’est la femme qui bouge, elle peut contrôler ses mouvements pour ressentir exactement ce qu’elle veut, et elle fera plus attention à ce que le pénis ne ressorte pas à cause de mouvements trop brusques.

Utiliser des « gadgets » sexuels

Se servir d’accessoires ne signifie pas que l’homme n’est pas capable de satisfaire la femme toute seule. Il s’agit plus d’une garantie que d’un complexe. Si vous avez un petit pénis, vous pouvez utiliser un sex toy pour approfondir les plaisirs de votre partenaire. Grâce à ces petits gadgets, votre partenaire sera comblé, et vous aurez moins de pression au cours de l’acte.

Rester vigilants sur les produits miracles

Les agrandisseurs de pénis restent à ce jour les produits les plus vendus dans la sexologie. Ce sont généralement des pompes qui permettraient d’allonger le sexe masculin. Le gonflement momentané se dissipe au bout de quelques minutes, alors que les risques de séquelles permanentes sont réels. Ceux qui promettent d’agrandir la verge pour atteindre 30 cm sont tout simplement des arnaqueurs. De toute manière, les sexologues déconseillent ces produits annoncés comme miraculeux par la publicité.

Les substances censées booster la vitalité sexuelle

Certains vendeurs profitent de l’engouement général pour la sexologie pour écouler des produits douteux, voire illicites. Autant que possible, il faut éviter de se procurer du viagra et autre médicament sans prescription médicale. Certains articles vendus hors de la pharmacie contiennent des drogues de type ectasie ou MDMA. Ces substances accroissent la libido, mais les effets négatifs sont souvent irréversibles. Outre le trouble érectile et l’anorgasmie, il y a le risque d’arrêt cardiaque.

D’autres conseils pour ne pas se faire avoir

La première chose à faire serait de prendre du recul face aux publicités. Il faudrait se méfier des annonces qui promettent de résoudre les problèmes liés à la sexualité en un claquement des doigts. Les stages de sexothérapie sont également à éviter. A la place, il vaut mieux s’orienter vers des professionnels, de préférence issus du corps médical. Afin de ne pas devenir une proie facile pour les charlatans, il est recommandé de demander conseil aux proches ou au médecin de famille en cas de panne érectile ou d’autres problèmes.